Véritable ville dans la ville, un campus universitaire américain propose aux étudiants de multiples aménagements, services et infrastructures afin qu’ils n’aient théoriquement pas besoin de sortir pour assurer leur survie. Munissez-vous donc d’un plan et étudiez-le… Vous y trouverez sûrement une banque, un centre médical, des salles de concerts, des cafés, des restaurants (le plus souvent un foodcourt), une supérette ou quelques jours par semaine, un marché, et même une police interne qui patrouille jour et nuit.

Il est facile de rester en contact en se branchant sur la radio du campus et en lisant ses gazettes.

Des salles de gym avec piscine olympique, des terrains de basket, de football, de tennis, de squash et de nombreuses activités physiques sont généralement proposées dans les campus.

Bon à savoir : aux Etats-Unis, les étudiants soutiennent les équipes sportives universitaires, ou au moins, en portent fièrement le nom, car chaque université possède ses propres logo, mascotte et couleurs.

Les sportifs de haut niveau peuvent tenter d’intégrer une équipe universitaire, d’autant qu’ils bénéficient presque toujours de bourses scolaire.

La Factory a pris le soin de vous présenter les 3 meilleures universités présentes aux états unis d’Amérique non seulement en matière de qualité de formation inégalée avec les universités du reste du monde mais aussi par rapport à la prestigieuse vie d’étudiants menés par ses bénéficiaires.

Les campus américains sont connus pour leur ingéniosité aucun système au monde ne peut faire face à la force de leurs services. Tous les aménagements proposés facilite et rends la vie étudiante très agréable. Sans trop s’étaler voici les universités :

 

Harvey Mudd College, Claremont, Californie

 

La première du classement représente une jeune institution (elle a été créée en 1955) qui a su s’imposer comme étant une grande école d’ingénieurs. L’université de 800 étudiants est le second producteur de doctorants en sciences de l’ingénieur des Etats-Unis.
La scolarité est très chère (190.000 dollars) mais les salaires à la sortie sont très élevés (73.300 dollars par an). Investissez dans ses études peut sembler des fois pas très évident mais investir dans Harvey Mudd College en vaut le sacrifice.
 

California Institute of Technology, Pasadena, Californie

 

 
Une des écoles de ce classement avec le niveau requis à l’entrée le plus élevé. Ce qui en fait une université avec des capacités de recherches très développées, avec de très nombreux doctorants et des stages à la NASA.
Comme pour les autres universités proposant des formations d’ingénieur, les salaires atteignent les 70.000 dollars dans les cinq ans après la diplomation. La California Institute of Technology vous promet donc une formation digne des meilleures.
 

 Webb Institute, Glen Cove, New York

 

 
Pour finir et comme souvent, on vous laisse le meilleur pour la fin, le Webb Institute est une université particulière, puisqu’elle n’accepte que très peu d’étudiants, et forme aux métiers d’ingénieurs spécialisés dans le domaine de la marine. Elle possède de nombreux avantages. Elle est entièrement gratuite pour ses étudiants, qui reçoivent chacun une bourse d’études de 44 000 (33.000 euros) dollars par an. Et les salaires des anciens sont conséquents: 65.000 dollars par an en moyenne.
 
Témoignages : 
Pour finir voici le témoignage de Julie, 23 ans qui effectue son deuxième séjour sur le campus américain de Skema. Une expérience dont elle profite à fond, avec, en ligne de mire, un début de carrière aux États-Unis.
Dans son mince tee-shirt de sport rouge et malgré la douceur toute relative de ce début de printemps, Julie ressemble à n’importe quelle étudiante de NCSU (North Carolina State University) : sportive et « casual ».
Alors que beaucoup d’élèves de Skema se contentent d’un semestre sur le campus de Raleigh (Caroline du Nord), au cœur de NCSU, l’étudiante française, après un premier séjour de trois mois en M1, »un peu court », est revenue y passer sa troisième et dernière année du programme grande école.

Mais pourquoi revenir ?
« En M1, j’étais arrivée à Raleigh en cours d’année. Je voulais avoir l’occasion de vivre le semestre d’automne, qui coïncide avec la saison du football américain. Le week-end, tous les étudiants prennent leur transat et passent leur journée au bord du terrain, c’est incroyable !, raconte la Montpelliéraine, des étoiles dans les yeux. Il y aussi moins d’étudiants de Skema à cette période, et c’est plus facile pour se faire des amis américains. »